Karim Rekik n’aura pas marqué l’Olympique de Marseille sur le terrain, et son départ au Herta Berlin ne va pas chambouler l’effectif. Mais il laisse un bon souvenir hors du terrain, un joueur qui ne fait pas de vagues malgré son poste de remplaçant et qui a toujours continué de travailler. Beaucoup se rappellent encore de son but contre l’Olympique Lyonnais en 2015. Dans une interview accordée à l’Équipe, le défenseur néerlandais a dévoilé les meilleurs souvenirs de son aventure marseillaise.
Quand le bus fend la foule avant un Classique au Vélodrome, que les fans agitent des fumigènes, balancent des pétards… Incroyable
« Les rayons de soleil vont me manquer, le Vélodrome, mes coéquipiers aussi. Tous les salariés du club, qui ont le cœur à la bonne place. Je me rappellerai toute ma vie mon but contre Lyon, cette ambiance totalement dingue (1-1, le 20 septembre 2015). Je n’avais jamais vu ça dans ma vie. Les matches contre Lyon, Paris, c’était un truc de fou. Quand le bus fend la foule avant un Classique au Vélodrome, que les fans agitent des fumigènes, balancent des pétards… Incroyable. La finale de Coupe de France, en mai 2016, a été aussi un très grand moment (défaite contre le PSG, 2-4). Je garderai une affection particulière pour mes partenaires, beaucoup sont comme des frères : Bouna (Sarr), Rémy (Cabella), Flo (Thauvin), William (Vainqueur), un mec ultra pro et inspirant. »
Karim Rekik – Source : L’Équipe