Alors que son départ semblait inéluctable, Lassana Diarra est toujours à l’OM. Alors que l’un des membres du staff de McCourt, l’avocat Didier Poulmaire aurait, selon France Football, pris le dossier en main, les possibles folles exigences de Diarra continuent d’alimenter la presse…
Accusé d’exiger des voitures de luxe
Le site de l’hebdomadaire affirme que la gourmandise financière de Lass’ lui a fermé plusieurs portes. Levent Nazifoğlu, le directeur sportif de Galatasaray a expliqué ce lundi que l’échec de ce transfert était dû aux exigences financières démesurées de l’Olympien. Ce dernier aurait réclamé notamment : « Une maison de luxe avec un loyer mensuel de 30 000€ et deux voitures à pas moins de 150 000€ chacune. Nous avons refusé de céder à ses exigences. » Interrogé par FootMercato.net, l’entourage de Diarra a fermement démenti s affirmations : « Voitures, appartements… C’est du grand n’importe quoi. C’est le projet proposé, dans sa globalité, qui n’a pas convaincu Lass. Je pense que, dans la mesure où ils avaient déjà annoncé de façon anticipée un accord, ils se sont retrouvés face à leur incohérence, pour ne pas dire leur incompétence. Aujourd’hui, ils se justifient comme ils le peuvent, et c’est vraiment triste d’en arriver là. Déçu de la part de ces dirigeants ».
Des exigences financières démesurées ?
Ce mardi, le journaliste de France Football, Nabil Djellit en remet une couche. Ce dernier affirme que « les dirigeants du PSG du ont jugé son agent trop gourmand. À Moscou, on a jugé trop risqué d’aller narguer le Lokomotiv avec les couleurs du Spartak… Et puis il a eu la Chine. Le pays de Mao voulait lui faire faire le grand bond pour 7,5 millions d’euros annuels net, mais l’international français a fait comprendre qu’il en souhaitait 10, comme relayé par nos confrères de L’Equipe. » Pour l’instant Diarra soit se « contenter » des 2,75M€ brut / an que lui offre l’OM.