Vikash Dhorasoo a publié un billet sur son blog dans lequel il tacle avec beaucoup d’humour Joey Barton et ses folowers sur Twitter . Morceaux choisis:
«Quand on est con, on est con. » J’imagine que, dans le vestiaire de l’OM, la chanson de Brassens tourne en boucle. Joey Barton est violent, vulgaire, mais ce gars gère un business. Plus de 2 000 000 de consommateurs potentiels. On les appelle les followers. C’est une nouvelle race de gens accros à leur mobile, leur PC. Des gens addicts à la connerie des autres. Ils squattent un truc qui s’appelle Twitter, un truc de merde où les cons sont rois. Deux millions de nazes suivent un gars à l’affût de l’info, de la vanne, du bon mot, prêts à faire monter la sauce. On appelle ça « faire le buzz ».
Alors le bon Joey, pas si con, leur donne à manger et à boire.(…) Barton a paraît-il un jour été un bon joueur (je vérifierai sur YouTube, mais là, j’ai pas mon iPad blanc). Sans ses tacles à la carotide, le pauvre ne vaut plus grand-chose. The new Joey ne fait plus peur. Barton a été contraint de s’exiler en France pour continuer à jouer au foot. Le moindre écart lui coûterait sa fin de carrière. Pas si con, Joey ne tacle plus ses adversaires, il les fracasse sur Twitter.
Joey, tu es allé trop loin en comparant Thiago Silva à un transexuel. La commission d’éthique a tergiversé avant de le convoquer. « Comment, Mister Barton, avez-vous osé attaquer un joueur du PSG qatari qui fait survivre la L1 ? Brandao, on veut bien, mais Thiago Silva, le meilleur défenseur du monde, non ! » »
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