Si Bafé Gomis n’est pas là, Rudi Garcia n’a pas vraiment d’option viable. Iseka est encore trop tendre tout comme le jeune Rabillard, Njie est plus un joueur de couloir. Pourtant l’intéressé estime qu’il n’a pas forcément d’un concurrent, il cite en exemple Michy…
Gomis souligne ses stats
« On n’est pas gâtés par les blessures, alors que notre groupe n’est déjà pas assez riche. Monaco, Paris ont l’habitude de travailler avec les mêmes joueurs, Germain sait qu’il va se trouver avec Falcao, etc. Moi, c’est Clinton (Njie). Quand il n’est pas là, c’est Aaron (Leya Iseka). Parfois, c’est Bouna (Sarr). C’est très dur de plancher sur une complicité. Aux avant-postes, celle-ci est primordiale. Manquer de concurrence ? Non. Batshuayi était seul l’an passé, cela ne l’a pas empêché de faire une bonne saison (17 buts en L 1). Je suis à six buts et à deux passes décisives en L 1. À Marseille, tu as surtout une forte exigence du public, elle dépasse la notion de concurrence. »
Bafé Gomis – source : L’Equipe