Le Stade Vélodrome a encore brillé de mille feux dimanche dernier pour la réception de Lyon (2-1). Une ambiance qui a dû rappeler de bons souvenirs à Camel Meriem…
Si Meriem n’est resté qu’une saison à l’OM, il a vécu un exercice intense marqué par une finale de Coupe UEFA et une épopée riche en émotions. Il est revenu sur les ambiances qu’il a pu vivre cette année-là et leur influence sur les résultats européens…
on sentait qu’on ne pouvait pas perdre
« Oui, c’est vrai que ça reste un moment fort de ma carrière, notamment ce quart de finale à San Siro où j’ai la chance de marquer. On connaît la passion qui règne à l’OM, au Vélodrome. La demi-finale contre Newcastle reste un très grand souvenir par rapport à l’ambiance qui régnait dans le stade. Quand on rentrait sur le terrain en coupe d’Europe, on voyait le public, l’atmosphère du stade, on sentait qu’on ne pouvait pas perdre. (Il réfléchit) Au Vélodrome c’est la plus grosse ambiance que j’ai ressenti. On sentait vraiment presque les tribunes trembler, c’était impressionnant. C’était plein à craquer. Après le deuxième but, on a senti le stade en feu, ce n’était pas une expression, c’était vraiment quelque chose. Ça transcende. À l’échauffement, le stade est déjà plein, à chanter, à crier, tu as des frissons. Même les joueurs de Newcastle doivent sentir que ça va être dur pour eux. »
Camel Meriem – Source : Ultimo Diez