En janvier dernier, après une conférence de presse très chaude de André Villas-Boas, un supporter avait proféré des menaces de mort contre Jacques-Henri Eyraud sur Twitter. L’affaire a été jugée…
Le jeune homme, âgé de 23 ans, a écopé d’un an de prison avec sursis sur jugement du tribunal correctionnel de Marseille. Il a été condamné à verser deux fois 1€ au titre de dédommagement symbolique ainsi que 1 000€ au titre de la procédure pénale.
La réaction officielle de l’OM à l’époque des faits
Le président du club, Jacques-Henri Eyraud, a reçu le soutien du syndicat Première Ligue et de l’Union des Clubs Professionnels de Football à la suite des menaces de mort dont il a été victime sur les réseaux sociaux. Ces derniers condamnent fermement ces actes à la suite desquels Jacques-Henri Eyraud a porté plainte : « Absolument rien ne justifie ces comportements délictueux qui viennent de pseudo-supporters à l’esprit du club« . Dans leur communiqué, ils rappellent également que « Quel que soient les commentaires ou les critiques que l’on peut adresser à tel ou tel, ils ne justifient en aucune façon les insultes et les tentatives d’intimidation physiques qui se propagent notamment sur les réseaux sociaux. » Le syndicat Première Ligue a tenu à rappeler les valeurs de ce sport tant apprécié de tous. Il « appelle à la raison et souhaite que le football demeure ce qu’il ne doit jamais cesser d’être : un spectacle populaire, rassembleur et festif« .
OM – Source : Site officiel
Le syndicat Première Ligue et l’Union des Clubs Professionnels de Football apportent leur soutien à Jacques-Henri Eyraud.
— Olympique de Marseille (@OM_Officiel) January 19, 2020