Giovanni Ciccolunghi n’est arrivé que depuis quelques semaines à l’OM mais le moins que l’on puisse dire est que son style détonne avec le précédent occupant de la fonction.
Hormis le style vestimentaire, il ne s’attache pas non plus à tout contrôler restant sous contrôle permanent du conseil de surveillance qui est l’organe final de validation des décisions. Un processus plus lourd qui est souvent critiqué et utilisé par beaucoup pour expliquer la lenteur de certaines décisions notamment en ce qui concerne le mercato.
On travaille bien à l’OM selon lui
« Estimer aujourd’hui la qualité d’une gouvernance mise en place il y a un mois est inapproprié. Le conseil de surveillance a travaillé tout l’été et pris de très nombreuses décisions de manière efficace, en totale coordination avec le directoire. » Voici la déclaration que le président de l’Olympique de Marseille a tenu à adresser au JDD.
Un peu plus loin, le membre (anonyme) du conseil de surveillance qui donne ses infos au journal rajoute : « L’OM, ce n’est pas la zizanie. C’est comme la France : un gouvernement et un parlement.«