Jacques Cardoze a été interrogé par le journal L’Equipe sur ce qu’il s’est passé dans les tribunes présidentielles ce dimanche face à l’OGC Nice. Le directeur de la communication a remis les choses au clair.
Ce mardi dans un entretien accordé au journal L’Equipe, Jacques Cardoze a livré sa version des faits qui se sont déroulés dans la tribune présidentielle lors du match face à l’OGC Nice à l’Allianz Riviera.
Les propos de M. Estrosi sont inadmissibles, scandaleux et mensongers — Cardoze
Selon le nouveau directeur de la communication du club, Christian Estrosi a inventé une bonne partie de ses accusations. Il a notamment expliqué ce qu’il s’est passé entre la femme du président Jean-Pierre Rivère et Pablo Longoria.
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« Je suis outré par les propos de M. Estrosi, qui devrait avoir honte du dispositif mis en place dimanche soir, pas à la hauteur de l’enjeu. Le fait qu’il ne mesure pas la dangerosité et le risque d’un match comme celui-là, cela me paraît plus grave que les péripéties de cours d’école de la tribune présidentielle. Les Niçois éludent le principal problème, qui est que leur stade n’était pas à la hauteur. Quand je vois M. Rivère dire qu’avec les filets, Nice aura un stade sécurisé, cela veut bien dire qu’il ne l’était pas, et qu’il y a eu une faille gigantesque dimanche soir. Je trouve honteux et irrespectueux que l’on fasse porter la responsabilité à M. Longoria. Les propos de M. Estrosi sont inadmissibles, scandaleux et mensongers. » Jacques Cardoze – Source : L’Equipe (24/08/21)
On ne peut pas laisser Longoria se faire salir comme cela — Cardoze
« Dans les minutes qui précèdent la 75e, les Niçois prennent plusieurs cartons jaunes (Dolberg, Kluivert, Bard, plus l’entraîneur Christophe Galtier), et à chaque fois M. Rivère apostrophe le délégué pour lui dire que cela suffit, les cartons contre son équipe. Alors que pas une seule fois il n’a appelé son responsable de la sécurité. Et à la 75e minute, c’est Mme Rivère qui vient nous dire : « Arrêtez, ce n’est rien ces projectiles ». Elle agrippe le bras de Pablo Longoria qui, dans un geste ferme, la pointe du doigt et lui demande de ne pas le toucher. Là, José Cobos est intervenu. Il n’y a eu aucun geste ou parole déplacés de la part de Pablo Longoria, on ne peut pas le laisser se faire salir comme cela. » Jacques Cardoze – Source : L’Equipe (24/08/21)