PUBLICITÉ
Info Chrono
  • Loading
Abonnement
PUBLICITÉ
OM Info

OM- AEK Athènes: L’histoire d’une belle amitié entre les groupes de supporters

Par Articles FCM - Publié le - Mis à jour le
Supporters OM - Virage sud South Winners
Supporters OM - Virage sud South Winners
Supporters OM - Virage sud South Winners

L’Olympique de Marseille accueillera l’AEK Athènes ce jeudi pour le compte de la 3e journée de la Ligue Europa. Dans l’édition du jour de La Provence, l’historien Sébastien Louis, spécialiste du supportérisme en Europe, a évoqué le lien si particulier qui unie les deux groupes de supporters. 

À la veille de la rencontre entre l’OM et l’AEK Athènes pour le compte de la troisième journée de la Ligue Europa, l’historien Sébastien Louis, spécialiste du supportérisme en Europe, a évoqué le lien si particulier qui unie les deux groupes de supporters dans les colonnes de La Provence. « L’amitié entre l’OM et l’AEK est née en 1993 avec l’exclusion de Marseille de toutes compétitions européennes par l’UEFA en 1993 » a-t-il affirmé.

A LIRE AUSSI: OM: Longoria a une nouvelle fois rencontré les supporters ! (Les détails de la réunion)

« Les liens se sont renforcés. Que ce soit côté grec ou marseillais, cette amitié se transmet »

« Les liens se sont renforcés, ce n’est pas une amitié superficielle entre supporters qui se rencontrent. Aujourd’hui, c’est la première fois que les deux clubs sont opposés depuis le début de l’amitié. C’est très particulier car la plupart des gens qui la portent n’ont pas connu les débuts. Que ce soit côté grec ou coté marseillais, cette amitié se transmet malgré tout », a confié le spécialiste.

D’autres amitiés sont notables en Europe comme celle entre les ultras de Paris et ceux de Cologne, qui a conduit a des incidents lors de la rencontre Nice-Cologne la saison passée. « C’est particulier car le groupe n’existe plus à Paris, mais l’amitié a perduré avec les Authentiks et les Supras et la Wilde Horde de Köln. Il y a aussi celle entre ceux de Strasbourg et ceux de Karlsruhe, ou celle entre le Celtic Glasgow et Sankt Pauli, le Rapid Vienne et le Panathinaïkos… Dans les années 90, les accords de Schengen, la facilité de voyager et l’essor des compagnies low cost ont permis tout ça », a conclu Sébastien Louis.

    • Facebook
    • Twitter
    • Whatsapp
    • Flipboard
    • Flipboard
    Afficher les commentaires
    0