L’Arabie Saoudite se prépare à mettre un terme à sa collaboration avec Roberto Mancini, l’actuel sélectionneur de l’équipe nationale. Après un match nul décevant contre Bahreïn (0-0) et une défaite préoccupante face au Japon (0-2) lors des éliminatoires de la Coupe du Monde 2026, la position de Mancini est devenue de plus en plus fragile. Actuellement, il négocierait les conditions de sa résiliation de contrat, qui court jusqu’en 2027, tant la situation semble critique. Le nom de Zidane est évoqué…
Pour redynamiser les Faucons verts, les dirigeants saoudiens envisagent plusieurs options. Parmi elles, Hervé Renard, l’ancien sélectionneur de l’équipe, qui avait mené l’Arabie Saoudite à une victoire mémorable contre l’Argentine lors de la dernière Coupe du Monde. Cependant, le véritable objectif des autorités saoudiennes serait de convaincre Zinedine Zidane de revenir sur le devant de la scène footballistique.
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Zidane choix numéro un de l’Arabie Saoudite ?
Malgré un environnement tranquille loin des terrains, Zidane attire les convoitises. Selon le Corriere della Sera, le Français, vainqueur du Ballon d’Or en 1998, a jusqu’à présent décliné toutes les propositions depuis son départ du Real Madrid en 2021. Ces dernières incluent des clubs prestigieux comme le PSG, le Bayern Munich, et même Manchester United, mais Zidane reste ferme dans sa décision de ne pas revenir pour l’instant.
La situation actuelle de l’Arabie Saoudite dans le classement est préoccupante. L’équipe occupe la troisième place de son groupe, ce qui la place hors du chemin direct vers la qualification pour la prochaine Coupe du Monde. Les équipes classées troisième et quatrième devront passer par des barrages après le troisième tour.
L’Arabie Saoudite devra affronter l’Australie le 14 novembre, une équipe qui la surpasse en différence de buts. Ce match sera crucial pour espérer maintenir ses chances de qualification. Ensuite, un déplacement en Indonésie est prévu pour le 19 novembre, suivi de quatre autres rencontres à jouer d’ici juin. Dans un contexte aussi tendu, l’avenir de la sélection saoudienne dépendra de la capacité de ses dirigeants à réagir rapidement et à faire le bon choix d’entraîneur.