Arrivé au Bayern Munich en octobre 2020, Bouna Sarr peine à se faire une place en Bavière. L’ancien latéral droit de l’OM pourrait plier bagages d’ici les prochains mois.
Il peine à s’imposer du côté du Bayern Munich. Arrivé en Bavière en provenance de l’OM en octobre 2020 pour un montant avoisinant les 10 millions d’euros, Bouna Sarr pourrait déjà quitter l’Allemagne. En effet, le latéral droit sénégalais a eu sa chance très peu de fois depuis son transfert.
S’il a pris part à 15 rencontres sous la tunique bavaroise la saison dernière, il n’a disputé seulement que 10 matches toutes compétitions confondues cette saison. Par ailleurs, il n’a été titularisé qu’une seule fois par Julian Nagelsmann. Sous contrat avec le Bayern Munich jusqu’en juin 2024, Bouna Sarr pourrait donc réfléchir à quitter l’Allemagne l’été prochain si un projet intéressant se propose à lui.
La Roma et le LOSC intéressés par Bouna Sarr ?
À en croire les informations révélées par Bild, plusieurs équipes suivraient attentivement son profil ces dernières semaines. Parmi elles, on apprend que l’AS Roma de José Mourinho est intéressée par Bouna Sarr. Toutefois, un retour en Ligue 1 pourrait également être une option puisqu’on apprend que le LOSC est également intéressé par l’ancien olympien.
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Récent vainqueur de la Coupe d’Afrique des Nations, Bouna Sarr pourrait peut-être bénéficier de plus de temps de jeu avec le Bayern Munich. En revanche, d’autres clubs pourraient aussi se rajouter à la liste des intéressés par son profil d’ici l’été prochain. Affaire à suivre…
Il m’a mis dans le clan de ses trois capitaines — Bouna Sarr
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Dans les colonnes du quotidien sportif l’Equipe, l’international Sénégalais était revenu sur sa relation particulière avec l’ancien coach de l’OM André Villas-Boas.
« Pour moi, il était le coach parfait. À l’OM, il prenait les joueurs avec leur personnalité, leur caractère. Avec lui, j’étais moi-même. Il voyait que j’étais dans l’univers américain, la façon de m’habiller, de m’exprimer… Ça l’amusait. Sur Instagram, il commentait mes récits, on s’amusait. Quand on était dans une bonne dynamique, il nous donnait quatre jours libres lors de la trêve internationale. Je partais à Barcelone avec mes amis, je lui envoyais des snaps dans des restaurants ambiancés, je n’avais pas peur de lui montrer que je profitais de mes congés. Normalement, tu n’envoies pas ce type de vidéos persos à ton coach ! Mais il savait qu’à la reprise, je serais le premier à 100 %, que je n’abuserais jamais de notre relation. Sur le terrain, s’il m’engueulait, je ne boudais pas. Il aurait pu me gifler, je fermais ma gueule. Il était le boss. Il a vu que j’entraînais les autres, il m’a mis dans le clan de ses trois capitaines avec Payet et Mandanda, pour cimenter le vestiaire. » Bouna Sarr – Source l’Equipe (16/12/2021)