Bouna Sarr avait rejoint le Bayern Munich en octobre 2020. Son temps de jeu reste limité en Bundesliga, mais malgré des sollicitations le latéral ou milieu offensif pourrait encore rester en Bavière…
Bouna Sarr participe actuellement à la CAN avec le Sénégal. Le latéral droit n’a disputé que 55 minutes en Bundesliga cette saison, et aurait plusieurs possibilités de départ lors de ce mercato hivernal. Deux clubs français sériaient intéressés, mais ce dernier ne devrait pas trancher avant la fin de la CAN…
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4 clubs dont le LOSC sur Bouna Sarr ?
Selon FootMercato, « le LOSC et les Girondins de Bordeaux ont approché l’entourage du joueur, de même que l’AS Roma et le Genoa en Italie. Pas de quoi faire sourciller pour l’instant le joueur pour le moment focalisé sur la CAN. Mais qui sait si cela ne bougera pas d’ici la fin du mercato hivernal. » L’ailier ou latéral de 29 ans dispose d’un contrat jusqu’en 2024 avec le Bayern. On imagine mal Bordeaux et même Lille pouvoir lui offrir les mêmes conditions salariales…
À en croire les informations de TZ, Bouna Sarr aurait déjà pu plier bagages avant la fin du mercato estival 2021. En effet, plusieurs clubs lorgnaient sur son profil. Parmi eux, l’Olympiakos, Besiktas et même Lille. Mais le joueur avait déjà refusé.
Dans les colonnes du quotidien sportif l’Equipe, l’international Sénégalais était revenu sur sa relation particulière avec l’ancien coach de l’OM André Villas-Boas.
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Il m’a mis dans le clan de ses trois capitaines — Bouna Sarr
« Pour moi, il était le coach parfait. À l’OM, il prenait les joueurs avec leur personnalité, leur caractère. Avec lui, j’étais moi-même. Il voyait que j’étais dans l’univers américain, la façon de m’habiller, de m’exprimer… Ça l’amusait. Sur Instagram, il commentait mes récits, on s’amusait. Quand on était dans une bonne dynamique, il nous donnait quatre jours libres lors de la trêve internationale. Je partais à Barcelone avec mes amis, je lui envoyais des snaps dans des restaurants ambiancés, je n’avais pas peur de lui montrer que je profitais de mes congés. Normalement, tu n’envoies pas ce type de vidéos persos à ton coach ! Mais il savait qu’à la reprise, je serais le premier à 100 %, que je n’abuserais jamais de notre relation. Sur le terrain, s’il m’engueulait, je ne boudais pas. Il aurait pu me gifler, je fermais ma gueule. Il était le boss. Il a vu que j’entraînais les autres, il m’a mis dans le clan de ses trois capitaines avec Payet et Mandanda, pour cimenter le vestiaire. » Bouna Sarr – Source l’Equipe (16/12/2021)