Valère Germain reconnaît volontiers sa petite baisse de confiance ces derniers temps.
S’il reste un joueur de qualité notre journaliste, Mourad Aerts, trouve que les journalistes français en font beaucoup trop sur lui. Qu’il est survendu et sanctifié à chaque touche de balle sur l’autel du corporatisme français.
Le plus gros problème dans cette situation étant pour lui le rabaissement de ses concurrents étrangers comme on l’a encore vu récemment avec les critiques de Dugarry envers Mitroglou.
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