Le Classico entre le PSG et l’OM est souvent l’occasion de faire une analyse sur l’évolution de cette confrontation. L’atmosphère est moins passionnée qu’avant et les enjeux plus limités.
Ça devenait un peu la guerre civile
Interrogé par RMC, l’ancien président parisien, Alain Cayzac, se félicite de la situation actuelle : « Ça devenait un peu la guerre civile donc on a essayé de faire en sorte qu’il y ait de la ferveur et moins de violences. Mais c’est vrai que c’était plus tendu que ça ne l’est aujourd’hui. Ce n’est pas un match comme les autres mais ce qui a changé aussi, c’est qu’il y a moins de supporters, que les rapports entre dirigeants sont plutôt bons. Il n’y a plus de petites déclarations, à part l’imbécilité de Thauvin, mais ce n’est pas de sa faute… » L’on ne peut évidemment pas regretter les violences du passé, mais la diminution de la passion est palpable même en dehors de ce match médiatique.
