Il y a aura des absents pour le classico de dimanche. Ayew, Romao, Morel, Van der Wiel, Thiago Motta ne seront pas là. Mais l’incertitude demeure pour Zlatan. Le géant suédois est la piéce maitresse de l’attaque du PSG. Pour Eric Di Meco son absence sera préjudiciable, car Paris n’a pas un autre joueur aussi décisif.
Paris, l’étincelle, c’est Zlatan, point
Dans France Football, l’ancien latéral gauche de l’OM évoque cette limite pour le PSG en comparaison avec les grands clubs européens: « Ces équipes qui dominent, qui jouent face à des équipes regroupées derrière, doivent avoir le joueur qui a l’étincelle. Mais quand Ibra n’est pas là, qui en est capable à Paris? À Marseille, il y avait Waddle, Papin, voire Francescoli quand il était là. Le Real en a plusieurs, le Barca a Messi, Neymar, Suarez. Chelsea a Hazard, Diego Costa, etc. Paris, l’étincelle, c’est Zlatan, point. Lucas? Son jeu est stéréotypé. Lavezzi est blessé et peu efficace devant le but. Cavani, en l’absence d’Ibra, a du mal. Pastore, oui, mais il n’est pas très souvent décisif, ses stats sont insuffisantes. Un Di Maria avait ce profil. »