José Anigo: « Là, il faut gérer cette situation. Médiatiquement, c’est tout de même Marseille et quand on est dans un grand club, ça fait donc plus de bruit qu’ailleurs. On a mal démarré notre championnat, on trimballe ça et il faudra vite s’en sortir. Mais on ne va pas chercher d’aide de qui que ce soit. On grandit dans les mauvais moments. L’année d’Albert Emon et Eric Gerets, je me souviens qu’on était 19ème après 13 journées et on a fini troisième. On en est encore loin mais on n’est pas très heureux de la situation que l’on vit ce soir. »
Alou Diarra: « C’est une énorme déception mais il ne faut surtout pas lacher car les choses finiront par tourner en notre faveur. Ce soir on a quand même eu beaucoup d’occasions, mais leur gardien a tout arréter. Il nous faut simplement aller chercher cette première victoire de la saison, qui va arréter cette spirale dans laquelle on est entrainé. Peu importe la compétition, la ligue des champions contre l’Olympiakos, peut nous aider à rebondir »
Steve Mandanda: Il y avait beaucoup de déception dans le vestiaire, évidemment. Mais il faut être positif. C’est avec ce groupe qu’on va s’en sortir. Il reste encore beaucoup de journées. Ce soir, tout n’a pas était mauvais. On a eu les occasion, restons confiant et soyons solidaires (…) il ne faut pas tout remettre en cause, car il y a eu des choses positives dans le jeu. Il faut continuer à travailler, rester mobilisés, et la roue va tourner. Il faut forcer le destin et nous en avons les moyens.»
Morgan Amalfitano: « On est très décu, mais on est l’OM. Il va falloir proposer autre chose. Garder confiance pour avancer. On ne peut pas se laisser aller. Il va faloir travailler deux fois plus pour montrer au public ce que l’on vaut vraiment. Ce soir, la chance n’a pas était avec nous. Mais quand on attaque, nos adversaires ne nous laissent pas de répit. Il faut donc que nous aussi nous les bloquions quand ils sont en situation de nous mettre en danger. Ce n’est pas le moment de baisser les bras. D’autant que tous n’a pas été mauvais. »
Jérémi Morel: » Ils marquent sur une occasion, c’est rageant. On a fait les efforts mais on a manqué de chance devant le but. Je ne sais pas si c’est la crise, mais c’est plus que critique quand on voit qu’on est à 8 points de Lyon. Ça devient compliqué si on veut se battre dans le haut tableau. On est dans une phase vraiment négative, il va falloir se serrer les coudes pour repartir du bon pied. «