L’ancien directeur du football de l’OGC Nice Julien Fournier s’est exprimé dans l’After Foot sur RMC sur sa mésentente avec Christophe Galtier l’an dernier. N’ayant pas voulu dire de quoi il s’agissait exactement, il a toutefois précisé que ce sont des choses « graves » qui, si elles étaient dévoilés, l’empêcheraient de retrouver un vestiaire en Europe.
Julien Fournier, ancien directeur du football à Nice aujourd’hui à Parme, s’est exprime au téléphone hier soir sur l’émission de RMC « After Foot » sur sa relation compliqué avec Christophe Galtier, alors en poste à Nice également. Et ce qu’il laisse supposer, sans rien dévoiler d’exact, pose problème :
Les rapports que je pouvais avoir avec Christophe étaient assez chaotiques
« C’est vrai que c’est de notoriété publique que les rapports que je pouvais avoir avec Christophe étaient dès le début de la saison assez chaotiques. Très honnêtement, si j’explique les vraies raisons pour lesquelles on s’est disputés, parce que c’est vraiment le mot, Christophe n’entrera plus dans un vestiaire, ni en France ni en Europe ». Julien Fournier – source : After Foot RMC (28/09/2022)
A lire : Ligue des Champions : L’OM renonce (finalement)
« Des choses bien plus grave (que le football) de mon point de vue »
L’ancien dirigeant niçois donne ensuite quelques précision mais demeure très vague sur le sujet :
« Mais ce ne sont pas des affaires de foot qui nous ont opposés. Ce sont des choses bien plus graves de mon point de vue. (…) C’était indirectement lié au football. Ce sont des choses qui me touchent au plus profond. On avait des positions très éloignées. On a donc fait la saison et on a été, lui et moi, les plus professionnels possibles pour limiter l’impact négatif que ça aurait pu avoir sur l’équipe. Puis il y a eu la séparation » Julien Fournier – source : After Foot RMC (28/09/2022)
Lorsque l’on lui a demandé si c’était parce que le fils de l’actuel entraineur du Paris Saint Germain est agent de joueur que la discorde à pris place, Julien Fournier a nié, avant de reprendre que ce sont « des choses graves, selon moi, qui me touchent profondément. »
