L’Olympique de Marseille réussit pour l’instant une saison intéressante sous la férule d’Igor Tudor avec un jeu bien identifié. C’est ce jeu qui a poussé l’équipe de Coparena, épaulée par Mourad Aerts, à comparer le jeu de cet OM à un autre OM qui a beaucoup marqué les supporters, celui de Bielsa…
Dans cette émission créée pour les canaux officiels de la Ligue 1 Uber Eats, l’accent est avant tout mis sur la tactique.
« Pour trouver des similarités entre ces deux équipes, on peut parler de l’intensité, du pressing, du marquage individuel, de certaines façons aussi de progresser sur le terrain. Notamment en insistant beaucoup sur les côtés que ce soit chez Tudor ou chez Bielsa. Il y a des grandes idées avec lesquelles on peut faire des relations entre les deux mais il y a aussi des différences très marquées. Ce n’est pas la même manière de pratiquer le marquage individuel. Offensivement aussi, ce n’est pas la même organisation exactement non plus. La création et le décalage vient d’autres joueurs. » Florent Toniutti – Source : Ligue 1 Uber Eats
Pour revoir l’émission dans son intégralité et le développement de ces idées :
« Le côté radical, ça colle à l’ambiance du Stade Vélodrome ! »
Notre journaliste Mourad Aerts a été interrogé sur l’amour que semble porter les supporters de l’OM aux équipes pratiquant un marquage individuel en mettant beaucoup d’intensité.
« Est-ce qu’il y a un rapport entre cette idée de marquage individuel et d’intensité et la popularité de l’équipe de Bielsa par exemple ? J’ai envie de répondre oui au risque de tomber dans la chanson populiste « Marseille, ville rebelle qui a envie de prendre plus de risques »… J’ai quand même l’impression que le fait de pratiquer ce type de marquage individuel engendre des « actions hors du temps », j’ai aussi eu cette impression avec l’équipe de Tudor. Des actions où tu te dis « wow ça c’est pas normal » ! Ce côté là, de différent, de fort, de radical, ça colle à l’ambiance qu’il y a au Stade Vélodrome. Il y a besoin d’être radical quand t’es l’OM et c’est peut-être bien cet aspect de radicalité qu’engendre le marquage individuel qui fait que ces équipes-là plaisent plus au public du Vélodrome. » Mourad Aerts – Source : Ligue 1 Uber Eats
A lire aussi : Lyon – OM : La remarque de Blanc sur le style Tudor