Ce mardi l’équipe de France vient jouer au Stade Vélodrome pour y affronter l’équipe de Suède. L’occasion pour Didier Deschamps de revenir dans un Stade terminé qu’il aurait aimé connaitre avec la casquette de coach de l’OM. Mais les tensions avec José Anigo étaient trop fortes et Vincent Labrune avait tranché en faveur de son directeur sportif. Interrogé dans le journal l’Equipe, son agent, Jean-Pierre Bernès revient sur cette épisode :
Le contexte était devenu invivable en interne
« Son départ s’est passé quasiment dans l’anonymat, sans beaucoup de considération pour son passé de joueur ou les titres qu’il a gagnés comme entraîneur. Mais le contexte était devenu invivable en interne. Il était à bout et ç’a été un soulagement de partir. Il a été critiqué par une minorité de gens qui ne connaissent rien au foot. Ils l’ont poussé à bout. Mais il a été, il est et il sera toujours attaché à l’OM. Ce retour représente un moment particulier pour lui parce que Marseille a une place importante dans sa carrière et dans sa vie. C’est dommage que l’OM n’ait pas essayé de conserver un entraîneur de ce calibre. »
