L’ancien olympien Manuel Amoros était présent au stade de France vendredi soir lorsque la capitale a été frappé par les attentats. « En entendant les explosions, j’ai cru, avec d’autres collègues, que c’était des bombes agricoles, courantes dans les stades. Mais l’intervalle très rapproché et le fait que ça se passe à l’extérieur, ça nous a fait peur et on a pensé au pire même si l’on a continué à regarder le match. Mais ensuite c’était effrayant de voir les images de ce qui c’était passé (…) La France vit vraiment un cauchemar. C’est vrai que le parallèle est compliqué et pas facile à faire mais cela m’a fait revenir en mémoire ce cauchemar que l’on a vécu à Furiani en 92, » raconte-t-il ainsi dans les colonnes de La Provence.
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