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OM : « Qu’il aille chez un psychologue », Duga dézingue Longoria

Par La rédaction FCM - Publié le - Mis à jour le
Christophe Dugarry - ancien joueur de l'OM - Olympique de Marseillle

Avant que la sentence ne tombe pour Pablo Longoria, Christophe Dugarry réclamait une grosse sanction pour le président de l’OM… 

 

Après la perte de sang-froid de Pablo Longoria à Auxerre face à l’arbitrage, les réactions se sont enchaînés sur les réseaux sociaux et dans les médias. Entre soutien et critique, le président de l’OM a aussi dû faire face à des réactions presque insultantes, notamment avec Christophe Dugarry sur RMC.

 

« Il faut que la sanction contre Longoria soit exemplaire. Mais surtout, il ne faut pas que ça se reproduise. Qu’il aille chez un psychologue, un sophrologue, je ne sais pas… Mais il ne peut pas continuer à vivre les matchs comme ça, il fait du mal à tout le monde », a déclaré l’ancien joueur de l’OM.

 

 

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Lors de son coup de colère à Auxerre, Pablo Longoria avait répété le mot « corruption » avant de présenter ses regrets dans un entretien accordé à l’AFP. Il avait également qualifié la Ligue 1 de « championnat de merde » et évoqué l’hypothèse d’un départ de l’OM du championnat français.

Ces déclarations n’ont pas été prises à la légère par la commission de discipline. Lors de son audition, qui a duré plus d’une heure, Longoria s’est vu rappeler son « devoir d’exemplarité ». En définitive, la commission a retenu contre lui des « propos injurieux », un « manquement à la charte de l’éthique » et un « comportement portant atteinte à l’image du football ».

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Trois critères pour une sanction exemplaire

 

À la sortie de l’audition, le président de la commission de discipline, Sébastien Deneux, a expliqué les raisons de cette sanction sévère. Selon lui, trois points ont été déterminants dans la décision.

1. La rareté des propos : « Le premier critère, c’est la rareté des propos. De mémoire de commission, ces termes n’ont pas été employés par d’autres acteurs ces dernières années. C’est un point essentiel », a-t-il souligné.

2. La gravité des accusations : « Ces propos sont réitérés et nombreux. Ils portent atteinte à la sincérité et à l’intégrité du corps arbitral. Or, le respect des arbitres est un principe intangible sur lequel nous ne pouvons pas transiger. Ces déclarations nuisent également à la crédibilité du championnat de France », a-t-il poursuivi.

3. Un passif disciplinaire : « Enfin, il y a l’historique. Le président Longoria avait déjà été sanctionné cette saison. Il avait fait l’objet d’une mise en garde du Conseil national de l’éthique, mais il n’en a manifestement pas tenu compte », a rappelé Sébastien Deneux.

 

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