Hier, dès l’annonce du report du match OM-OL, les dirigeants lyonnais, Jean-Michel Aulas en tête, n’avaient pas tardé à mettre la pression concernant la nouvelle date de l’olympico. Ce lundi, Vincent Labrune a donné son point de vue en expliquant qu’il y avait un règlement et qu’il fallait s’y tenir. Une façon de rappeler à l’état major lyonnais que ce n’était pas eux qui fixer les règles.
«Maintenant pour la suite des opérations, il y a un règlement (…) La première date disponible est théoriquement le 28 novembre, si les deux clubs sont éliminés de la Coupe de la Ligue. Si nous jouons à cette date, ce n’est pas idéal pour nous, parce que cette rencontre arrive trois jours après le match contre Lille. C’est comme ça, c’est la règle. Dans le cas où cette date ne sera pas libre, ce sera le 19 décembre. Elle n’est pas du tout idéale parce qu’elle s’insère dans une série de cinq matches en 15 jours. Mais que peut-on faire ? C’est la règle, nous essaierons de nous y plier. Mais aucune de ces deux dates n’est idéale pour nous.» a déclaré le président de l’olympique de Marseille sur lequipe.fr
Dans cette affaire les deux camps cherchent bien évidemment à défendre leurs intérêts. La guerre d’influence auprès de la commission qui fixera jeudi prochain la nouvelle date du match OM-Lyon a bien commencé.