Notre histoire commence à un peu trop durer.
C'est que cela fait un moment que l'OM de Sampaoli n'offre plus grand chose d'excitant à mon palpitant.
À ce stade de la saison, il n'est plus guère question d'émotions, d'enthousiasme mais surtout de "putain, on peut pas en passer deux à Brest ou à Metz quand même ?" Les premières éruptions de cette équipe m'avaient laissé rêver à un exercice épique où les hommes de Sampaoli lutteraient, gagneraient et perdraient de manière grandiose. Des cris, des sauts, des pleurs, des joies... Ha les émotions ! Puis je me suis retrouvé à commenter un match européen avec un côté gauche Luan Peres/Pape Gueye destiné à verrouiller le seul Feghouli, qui s'est d'ailleurs amusé sur le dit-côté gauche. Curieux d'ailleurs de noter que ces dernières années la majorité des dingueries niveau compo des entraîneurs de l'OM se distinguent par leur folie à gauche.
Que de souvenirs...