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Aioli

OM – [OLYMPIENS] UN NUL BIEN PAYÉ…

Par olympiens2 - Mis à jour le - Publié le

Voilà vé, l’OM s’est fait accrocher au Vélodrome une nouvelle fois.
 
La rentrée de Benedetto, la première titularisation de Nagatomo, exit Lopez, c’étaient les changements prévisibles dans la compo de l’OM.
On attendait une réaction après le premier échec des olympiens pour leur 1er match au Vélodrome. Lille est venu avec l’intention de nous agresser au pressing, de saisir toutes les occasions de partir vers nos buts.
 
Nous avions beaucoup de mal à conserver le ballon.
Tous les joueurs marseillais sans exception rataient des transmissions parfois faciles, alors que les dogues ne laissaient aucun répit au porteur du ballon, organisés pour mettre beaucoup d’intensité et de densité au milieu, couper les lignes de passe.
 
C’était compliqué au cours de toute la première mi-temps.
Mise à part la 1re minute, nous avons passé 10 minutes sans aller dans la surface adverse. Nous n’avons pas tiré au but une fois, à part une frappe foirée de Payet sur mauvaise passe en retrait de Thauvin. Les trois de devant ne réussissaient aucun geste, ne posant aucun problème à leurs vis-à-vis. Une parade de Mandanda, main ferme, sur une frappe puissante de Celik, permettait à l’OM d’arriver à la mi-temps sur un score nul et vierge.
 
La volonté des marseillais n’étaient encore pas en cause. L’adversaire arrivait mieux préparé et plus frais, n’ayant pas eu de match à disputer en milieu de semaine.
Malheureusement, alors que je pensais que nous trouverions des opportunités à partir de l’heure de jeu, les lillois repartaient à fond en 2e mi-temps, Araujo crochetait Nagatomo, Alvaro était trop court pour couvrir et le lillois ajustait Mandanda. Il s’en fallait de peu pour que dans la minute suivante les joueurs de Galtier ne doublent la mise, mais Yilmaz, un vrai poison, touchait le poteau.
Les lillois semblaient desserrer l’étreinte peu après et les olympiens donnaient l’illusion de sortir un peu la tête de l’eau, mais cela ne durait pas. À la 62e, suite à une belle combinaison, Araujo déclenchait une nouvelle frappe qui permettait à Mandanda de s’illustrer sur une nouvelle parade.
À la 65e, Araujo sur un coup-franc suite à une poussette d’Alvaro, Araujo touchait le dessus de la transversale, encore une grosse frappe.
 
Auparavant, Nagatomo était sorti, Sarr entrant en jeu, Sakaï glissant à gauche.
 
69e, c’était Rongier qui touchait le poteau de Maignan.
71e, entrée de Radonjic, Gueye et Germain en lieu et place de Thauvin, Rongier, Payet.
Les remplaçants avaient 20 minutes pour se montrer, on croisait les doigts.
74e Il fallait un nouveau fantastique arrêt de Mandanda sur une tête lilloise à bout portant.
77e Aké remplaçait Benedetto.
 
81e, À la faveur d’un corner, Germain surgissait au premier poteau, ce qu’il aime faire, pour claquer une tête égalisatrice.
 
87e Mandanda arrêtait un tir de Soumaré.
 
L’arbitre donnait 3 minutes d’arrêt de jeu… À Paris, faut-il le rappeler, les qataris avaient eu 6 minutes.
 
Le score en restait là, sur ce match nul… bien payé, reconnaissons-le. On le doit à Mandanda qui a retardé longtemps la prise d’avantage définitive de l’adversaire du soir. On commence à s’inquiéter. L’articulation milieu-attaque a été mauvaise, le jeu trop lent. Difficile d’obtenir un meilleur score sans ces ingrédients…
 
Vive le grand Roger Magnusson !
 
Thierry B Audibert
 
 
Suivez-moi sur Twitter : @TBAudibert

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