Aïoooli peuple encore rigolard des mésaventures qataries.
On va pas rester des jours là-dessus, les meilleurs histoires ont une fin, mais se réveiller au milieu de la nuit dernière en se souvenant de cette élimination désopilante nous permettait de nous réendormir avec entrain. Et la journée fût tellement agréable. J’étais sur la Côte d’Azur, Cannes, Antibes, j’ai vu pas mal de gens morts de rire, supporters de Nice, Monaco, Cannes, il n’y a pas que les marseillais qui se seront marrés.
Nous sommes sûrs d’une chose, le prochain Classico sera placé sous le signe de la vengeance des parisiens dont l’égo a été fortement secoué.
Ils vont vouloir se refaire un peu de prestige sur notre dos, et nous espérons tous que nos joueurs monteront là-haut avec tout ce qu’il faut dans le short. Mais nous n’y sommes pas encore. Il y aura d’abord la réception de Nice, puis une trêve.
Nous aurons le temps de réfléchir demain sur les options que prendra Garcia. Le système restera en 4-4-2. Touchera-t-il à son milieu, à sa charnière ? Tout le monde a désormais les yeux braqués sur ces questions, sur les réactions et les attitudes des cadres restés jusqu’ici sur le banc. A-t-il clairement posé les règles du jeu à son groupe, ou bien attend-t-il le moment opportun de réintégrer certains joueurs dans le 11 de départ ? Il ne s’est pas forcément mis dans une position facile, même s’il gagne. Parce que dès le premier problème, c’est encore sur l’entraîneur que seront portées les accusations.
En tout cas si Lopez est maintenu à son poste au milieu dans le 11 titulaire, …
… il faudra surveiller si Maxime défend. Oui, j’ai écouté le Talk du FC Marseille hier, et j’y ai entendu l’ancienne voix de France-Bleu Avi Assouly affirmer que le petit marseillais ne défendait pas, ne savait pas défendre, n’était pas taillé pour défendre… et ça m’a bien fait rire. Ouvrons les yeux alors, avec un sourire sur la bouche quand même.
À partir d’aujourd’hui nous ne penserons plus qu’à ce nouveau match au Vélodrome qui nous opposera aux niçois. Oui, pensons à Nice… pensons anis aussi, pour boire un dernier coup à la santé de Manchester.
Vive le grand Roger Magnusson !
Thierry B Audibert
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