La saillie de Bielsa à l’encontre de Vincent Labrune a suscité un étrange élan de solidarité – plus ou moins sincères et calculées – de la part de dirigeants, ou d’ancien dirigeants du foot français. Après son fidèle ami, Luc Féry, lequel en connait un rayon en terme de management d’entraineur au vu de sa gestion du cas Gourcuff, c’est son meilleur ennemi Jean-Michel Aulas qui son point de vu: «Sur la forme, c’est impossible à accepte. Traiter ses dirigeants de menteurs, c’est une faute lourde. Ca mérite une sanction grave, mais pas jusqu’au licenciement. Je déciderais d’une mise à pied,» explique le président de l’Olympique Lyonnais.
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