Dans les colonnes de la Provence, Robert Pirès a fait le parallèle entre la situation actuelle de l’OM et celle qu’il avait connu en 2000, lors de sa dernière saison à Marseille. « On s’était rendu compte du danger à cinq, six journées de la fin. Pas avant. On se disait qu’en jouant à l’OM, on ne pouvait pas descendre. On regardait devant. Et puis comme on gagnait plus, il a bien fallu regarder derrière. Là on a paniqué. Il y a eu des blessés, des suspendus et personne ne nous a fait de cadeaux. Il faut bien comprendre que l’OM va affronter des équipes qui ont l’habitude de lutter pour le maintien. Demain à Lorient, ce sera capital. En cas de défaite, ça va être très chaud »
Le nombre d’équipes se trouvant derrière l’OM au classement (soit dix clubs) devrait cependant permettre aux Marseillais de se sauver quoi qu’il arrive. Il parait en effet improbable qu’ils passent tous devant l’OM d’ici la fin de saison.