Le journaliste Pierre Ménès est revenu sur le match nul ramené par les marseillais de leur déplacement à Nice sur son Blog : « Premier constat : les Olympiens ont endigué leur série de défaites en retrouvant une ancienne vertu : le réalisme. André Ayew a en effet ouvert le score à 10 contre 11, sur le seul tir cadré marseillais de la rencontre. Mais comme souvent ces derniers temps, Marseille a souffert de deux maux : la malchance, avec cette blessure de Diawara, et la fébrilité, à l’image d’un Kaboré un peu trop agressif. (…) Le même Civelli qui avait déjà obligé Mandanda à un arrêt d’extraterrestre sur une tête à bout portant. Au final, les Marseillais peuvent se dire qu’un nul vaut mieux qu’une défaite Mais les places européennes s’éloignent encore et la qualité de jeu n’était guère plus convaincante que dernièrement. Pas franchement rassurant avant de jouer le Bayern mercredi… »