Jérémy Morel a offert le ballon de la victoire à Rod Fanni face à Valenciennes. Mais avant cela le latéral gauche a connu beaucoup de déchets dans son jeu offensif. Sifflé a plusieurs reprise, le joueur doit vite retrouver ses esprits. Dans un entretien accordé à la Provence, Morel revient sur les critiques et ce sentiment d’être trop facilement la cible: « Je pars du principe que le foot est un sport collectif, donc je reste persuadé que ce n’est pas à cause d’un joueur que l’équipe perd. Mais bon, il faut des têtes de Turc… et je pense qu’ils l’ont trouvée. »
L’ancien lorientais revient sur son caractérise et sa proportion a rester dans son coin: « C’est la première fois que je m’isole autant. Mais c’est justement quand les résultats ne sont pas là qu’on se referme sur soi-même. J’ai un caractère assez casanier mais, en plus, j’ai tendance à me replier encore davantage. Quand ça ne va pas, je préfère rester seul plutôt que de « peser » sur les autres. Au moins, je n’embête personne… »
Jérémy Morel est le seul véritable latéral gauche de l’effectif, sa présence est devenu nécessaire pour l’équilibre de l’équipe. Il lui reste a affiché la même rage défensive que lors du début de saison et a réussir le même type de centre qui offre la balle de but à Fanni face à VA…
