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OM : Stéphane Guy veut calmer l’enflammade Aubameyang !

Par La Redaction FCM -

L’OM s’est imposé 4-1 face à Montpellier dimanche soir. Aubameyang s’est offert un doublé et a été encensé par les supporters marseillais, pour Stéphane Guy il n’y pas non plus de quoi sauter au plafond concernant l’attaquant olympien.

Dans l’After sur RMC, le journaliste Stéphane Guy ne veut pas s’enflammer concernant Aubameyang suite à la belle victoire de l’OM. « Les deux buts qu’ils marquent contre Montpellier, on ne va pas sauter au plafond non plus. Je pense que Benedetto, il aurait mis le premier (…) Moi, je ne suis pas dithyrambique. Ce qui est sûr, c’est que le Aubameyang de septembre et celui d’aujourd’hui, ce n’est pas le même. J’ai vu Marcus Thuram cette semaine en Ligue des champions, on ne va pas comparer l’OM et l’Inter, mais c’est un salaire de ce niveau-là. Marseille a mis cet argent-là sur Aubameyang ».

Je pense que Benedetto, il aurait mis le premier

 


En conférence de presse, Jean Louis Gasset a expliqué son choix tactique. « Mbemba était à la fois central et latéral ? Le constat, c’est que nous n’avions pas de spécialiste à droite. Si Jonathan Clauss est suspendu, il n’y a plus personne pour jouer latéral droit. Il fallait donc trouver quelqu’un qui joue à la ligne mais qui soit capable de défendre. Il fallait quelqu’un de très intelligent et capable de se sacrificier pour jouer dans le dos de Sarr. On a trouvé le joueur idéal parce que dans le sacrifice, il a été là. (…) Ils étaient au fond du seau, ce n’était pas dur. J’ai un peu d’expérience pour leur parler, j’ai quelques anecdotes. Et tant qu’il y a de la vie, il y a de l’espoir. Il fallait leur faire comprendre ça, à eux de réagir. Je suis venu pour les aider. Le fait d’avoir 100 jours, ça montre que je ne suis pas dans la durée, je ne suis pas carriériste. J’explique aux joueurs la bonne solution, il fallait trouver la formule qui leur allait bien à l’instant. Il ne fallait pas compliquer les choses : un et un, deux. On ne pouvait pas aller plus bas, on était au fond. Petit à petit… On a fait que deux escaliers. Mais il en reste combien ? »

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