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OM : Ce Marseillais a impressionné à Troyes

Par La rédaction FCM - Mis à jour le - Publié le

Ancien joueur de l’ESTAC, Isssa Kaboré devrait jouer ce mercredi soir face à ses ex-coéquipiers. Le directeur sportif troyen a livré son sentiment sur le joueur dans un entretien accordé à La Provence. 

 

 

Issa Kaboré va avoir plus de temps de jeu lors des prochaines rencontres. Le latéral droit profite de la longue blessure de Jonathan Clauss, touché aux adducteurs depuis le match face à Montpellier. Avant de débarquer à l’OM, Kaboré évoluait en prêt ) Troyes.

 

Athlétiquement, c’était notre joueur le plus à même de répéter les efforts — Vitali

 

Ce club est le prochain adversaire de l’OM en Ligue 1, ce mercredi soir. L’occasion pour François Vitali, le directeur sportif de l’ESTAC, de livrer son sentiment sur le latéral droit burkinabé.

 

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« Il avait fait des choses intéressantes en Belgique la saison précédente. Il s’est intégré tout de suite par sa gentillesse, son ouverture d’esprit. Athlétiquement, c’était notre joueur le plus à même de répéter les efforts. Mais il sait qu’il a beaucoup de choses à bosser » François Vitali – Source : La Provence (11/01/23)

 

 

Je n’arrivais plus à redescendre assez bas le curseur de nervosité — Clauss

 

 » Ma baisse de régime?  Je pense que c’est un tout. La surcharge que je n’avais pas connue avant. La surcharge émotionnelle est importante et je pense qu’on n’en parle pas assez. La souffrance physique, je la connais, ça ne me dérange pas de souffrir physiquement. J’ai appris à aimer courir, j’ai appris à aimer défendre. J’ai tout appris. Mais souffrir psychologiquement… Avant je jouais une fois par semaine, donc j’avais le temps de lisser cela. Là, tu souffres le dimanche soir et le lundi tu dois être calme. C’est peut-être cela. Je n’arrivais plus à redescendre assez bas le curseur de nervosité. Il remontait tellement vite ensuite. Je n’avais pas une overdose de nervosité, mais j’étais toujours sur le fil. Le Vélodrome, ça va dans les deux sens. Cela galvanise aussi. On joue pour ces gens-là. Quand le Vélodrome est plein à craquer et qu’on perd, on a l’impression d’être au milieu d’une arène. C’est dur à encaisser parce qu’on a envie de leur rendre tout ce qu’ils nous donnent. Tout est remis en cause, c’est cela qui est dur à gérer quand on n’a pas l’habitude de jouer aussi rapidement. Physiquement, le corps s’adapte. Mais la tête, c’est plus difficile. Il faut trouver des solutions » Jonathan Clauss – Source : Foot Mercato (25/12/22)

 

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