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L’OM gagne et se relance, Thauvin vs Payet et trop de contraste dans cet effectif…

Par Nicolas Filhol - Mis à jour le - Publié le

Ce mercredi soir, notre journaliste Nicolas Filhol nous a exposé ses trois enseignements du match OM – MHSC (3-1)… C’est à retrouver ci-dessous en vidéo et en texte plus bas… 

 

 

Premier enseignement : L’OM gagne et se relance

L’OM avait clairement besoin de gagner ce premier match en 2021. Après 1 point pris en 3 matches fin 2020, l’OM devait se relancer. Si le doute a été fort suite à l’égalisation litigieuse de Mollet, Payet, sorti du banc, a fait basculer le match. Cette victoire permet aux marseillais de profiter du match nul de Rennes, de Paris mais aussi de la défaite surprise du LOSC. Par contre Monaco et Lyon (avec un penalty) se sont imposés. L’OM reste 5e du classement mais cette fois à 5 points du podium.

 

Deuxième enseignement : Thauvin vs Payet

 

Sans Payet, laissé sur le banc au coup d’envoi, Thauvin a été le danger numéro un de l’équipe, le détonateur des actions dangereuses par ses frappes, ses centres, dribbles ou débordements. Quand il est en cannes comme en première mi-temps, il élimine facilement et crée des différences. Il aurait pu marquer mais il offre l’ouverture du score à Radonjic. Avec cette 7e passe décisive, il monte sur la première marche des meilleurs passeurs de Ligue 1. Le meneur de jeu a redonné l’avantage à l’OM sur un exploit individuel tout en maîtrise. Les deux techniciens de l’OM sont encore les hommes qui font la différence…

 

Troisième enseignement : Trop de contrastes dans l’effectif

L’écart de niveau entre les joueurs du onze marseillais a encore été important. Si Gueye a été influent, fort à la récupération mais aussi dans l’orientation du jeu (par sa qualité de passe), si Kamara a été omniprésent et a bouché les trous, si Thauvin a été le détonateur surtout en première mi-temps, le pauvre Yuto Nagatomo a été (encore) en grande difficulté, presque incapable de réussir à faire une passe, il se fait effacer trop facilement. Michael Cuisance a encore été une nouvelle fois transparent, mobile mais inutile. Benedetto a quasiment tout raté, ses contrôles, ses frappes. Ces disparités ne permettent pas à Villas-Boas d’avoir un collectif homogène.

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