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OM – [OLYMPIENS] RELEVER NOS CHALLENGES…

Par olympiens2 - Mis à jour le - Publié le

Hèèè ma fouaaa, premier billet de la vin-vin, à la vôtre, on redémarre le moteur olympien, en route pour, nous l’espérons tous, une deuxième moitié de saison aussi sympa que la première.
 
Je voudrais d’abord vous communiquer tous mes vœux de bien-être, de plaisir dans toutes vos activités, de santé surtout pour vous et pour tous ceux auxquels vous tenez.
 
Une nouvelle année qui commence, et même une décennie, la troisième du siècle et même du millénaire, entraîne des résolutions, je vous souhaite de les maintenir jusqu’à 2021 si vous estimez qu’elles vont dans le sens de vos intérêts. Pour ma part, je vais prioritairement m’efforcer d’atteindre mes objectifs professionnels, particulièrement élevés sans doute même s’ils ne m’ont pas encore été officiellement communiqués, j’ai le plaisir de faire un boulot de challenge permanent et je le prends comme un plaisir même si je ne sais jamais vraiment si je vais tenir. J’ai aussi l’objectif personnel d’avancer, voire finir la réalisation d’un film sur l’esprit de Marseille, et puis j’aimerais encore, autant que je le peux, augmenter la qualité des billets que je vous présente ici au gré de l’actualité olympienne.
 
Cette année, cela fera exactement dix ans que j’écris sur l’OM de manière quasi-hebdomadaire, au début et plus souvent par la suite. J’ai du passer depuis longtemps le cap des mille billets. Parmi ceux qui écrivent sur notre club, sans être payé, juste pour le plaisir, je crois qu’il n’y a que Blaah (@CamelusBlaah) et moi qui avons tenu une telle distance, je m’excuse pour le cas où j’oublierais de nommer quelqu’un, ce qui est assez fou quand on sait que l’écrit ne pèse plus grand chose aujourd’hui face à des vidéos parfois d’une totale débilité. Ça fait pas mal de temps que l’on m’encourage à passer à la vidéo mais croyez-moi ou pas, autant j’accepte volontiers d’aller sur les plateaux de talks quand on m’invite, j’y vais avec grand plaisir, autant j’hésite beaucoup à créer un format pour montrer ma gueule alors que je dispose des moyens qui permettraient une vraie qualité technique. Les débriefs vidéos sont d’ailleurs en train de se multiplier, je ne parviens pas à en trouver un qui se particularise vraiment et je vous avouerai que le seul que j’arrive à suivre de manière hebdomadaire jusqu’au bout reste la Minute de René Malleville. Je trouve surtout que beaucoup se prennent un peu trop au sérieux, quant à ceux qui se veulent drôles, ils ne m’arrachent que difficilement un sourire. Il n’est pas impossible que je fasse une tentative un de ces quatre, mais je ne suis pas sûr d’y trouver le même plaisir qu’en ce moment présent où je suis en train d’écrire et que mes doigts (mon doigt… je tapote l’iPad alors que je suis couché au retour de l’Opéra) courent sur le clavier.
 
Pour ce qui est de l’OM, puisqu’au départ c’est tout de même un billet d’avant-match que je voulais rédiger, nous pensons tous la même chose. Nous espérons juste que l’OM saura cette saison se montrer à la hauteur de son rang face à la modeste équipe de Trélissac à l’entame de son parcours en Coupe de France. On a envie de demander aux olympiens de respecter leur adversaire et surtout de se respecter eux-mêmes, pas comme l’année dernière où ils furent catastrophiques.
 
Peu m’importe la composition de l’équipe. Villas-Boas fera jouer ceux qu’il estime prêts, ménagera ceux qui ont encore besoin de temps pour être en meilleure forme le week-end prochain à Rennes, quelle que soit la rotation, la qualité de l’équipe doit être au rendez-vous pour peu qu’elle traduise une véritable motivation pour passer ce tour, et aussi les suivants.
 
Je suis de ceux que la Coupe de France fait encore rêver. J’ai encore trop le souvenir d’avoir découvert l’intérêt que l’on portait à l’OM ici, à Marseille, le jour où les olympiens remportèrent la finale de 1969 face aux Girondins de Bordeaux. Le bruit des casseroles que des jeunes de St Joseph frappaient en bas de chez moi sur le rythme de « qui c’est les plus forts… » m’avaient conduit à me pencher à la fenêtre de l’appartement de mes parents, à la cité La Maurelette, dans les quartiers Nord de la ville. J’avais longuement observé, fasciné, ce spectacle auquel se joignirent ensuite quelques klaxons. Mon amour pour l’OM est né ici, dans ce moment-là, il n’a jamais cessé de grandir par la suite. J’avais huit ans.
 
C’est le challenge qu’on a envie de donner aux olympiens. Non seulement se qualifier pour la Champions League, mais aussi, ramener la Vieille Dame sur le Vieux-Port. Ils se doivent de le relever, comme nous devons le faire pour tous les nôtres.
 
Allez l’OM.
 
Vive le grand Roger Magnusson !
 
Thierry B Audibert
@TBAudibert
 
 

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