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Mercato : L’OM est passé à côté d’un phénomène brésilien « plus fort que Neymar au même âge »…

Par La Redaction FCM - Publié le - Mis à jour le
Rodrygo during the brazilian Serie A match between Santos and Vasco on May 12, 2019. Photo : Estadao Conteudo / Icon Sport

Rodrygo, tout juste 18 ans, vient de s’engager au Real Madrid pour 45M€. Nicolas Pauly, agent au Brésil, a avoué à RMC qu’il avait proposé la pépite brésilienne à l’OM pour un prix dérisoire…

 

 

Attaquant de Santos depuis 2017, l’attaquant Rodrygo s’est officiellement engager avec le Real Madrid cet été pour une indemnité de 45 millions d’euros. Un prix qui paraît inaccessible pour l’Olympique de Marseille. Or il y a de cela quelques années, en 2013 plus précisément, les dirigeants marseillais, et parisiens, avaient l’occasion de s’arracher le phénomène brésilien pour… 500 000 euros, selon les informations de RMC Sport.

Toujours selon le media, les agents de Rodrygo avaient proposé un dossier à destination de la directrice financière de l’OM.
Mais les faits se déroulent en 2013, et lorsque Rodrygo est présenté à l’OM et au PSG, ce dernier n’a alors que 14 ans, et le projet d’un transfert d’un mineur refroidit les ardeurs des clubs français.

Les années passent et les recruteurs européens s’attardent sur le génie brésilien, et sa valeur devient inaccessible pour l’OM. Un regret pour Nicolas Pauly, agent présent au Brésil, qui a présenté Rodrygo aux clubs français.

 

« je n’ai jamais vu un tel talent » – n.pauly

 

«Je suis au Brésil depuis de longues années, j’ai observé des centaines de jeunes joueurs, mais je n’ai jamais vu un tel talent. Je l’ai découvert à l’âge de 10 ans et il était plus fort que Neymar au même âge. Et je pense qu’il sera meilleur que lui. Tant pis, je l’avais dit aux clubs français. Ils sont trop frileux. S’il avait signé en France, nous aurions aussi été capables de lui proposer une structure pour qu’il s’épanouisse et soit heureux. D’ailleurs, son père jouait en Division 2 dans un club du nord du Brésil. Et du coup, le petit Rodrygo ne vivait qu’avec sa maman et voyait rarement son papa. En France, ils auraient été réunis…» Nicolas Pauly – RMC Sport

 

 

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