Mercato : « Tout casser avant de retourner à l’OM »
Au cours d’un entretien accordé à Sports Auvergne, le jeune olympien issue du centre de formation de l’OM, journaliste Yusuf Sari a expliqué son choix d’être prête cette saison du côté de Clermont.Il espère ainsi progresser et revenir fort la saison prochaine pour réussir à Marseille :
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Il faut se faire discret et bosser — Sari
« Clermont, c’est un bon tremplin. Je me dois de tout casser avant de retourner à Marseille. J’ai eu une conversation avec le coach. Il m’a conseillé de partir en prêt pour avoir du temps de jeu car je suis jeune. Je ne l’ai pas mal pris, c’est une bonne étape à mon âge. Et puis c’est difficile de se faire sa place à l’OM. Il y a beaucoup de stars. Il faut se faire discret et bosser, » Yusuf Sari – Source : Sports Auvergne
Droits TV : Jackpot pour la L1, pas forcément pour l’OM, le PSG et Lyon…
C’est la grosse manne financière attendu pour 2020. Les droits TV de la L1 ont été cédés pour 1,153 milliard d’euros par an (ils sont actuellement de 750M€ / an pour la période de 2016 à 2020), de quoi largement augmenter les revenus des clubs français. Selon l’Equipe, cette énorme augmentation va surtout profiter aux petits clubs…
Jackpot pour les petits clubs…
En effet, le quotidien sportif explique que tout cela s’est joué lors des élections à la LFP en 2016. C’est une liste emmené par les présidents des petits clubs comme celui de Guingamp, Bertrand Desplat qui a réussi à imposer un changement de vision, à savoir ne plus favoriser les clubs européens et donc les gros clubs.
Le dernier va doubler ses revenus…
L’écart entre le premier de L1 et le dernier va donc clairement diminuer en termes de revenus liés aux droits TV : « À l’époque, l’écart entre le dernier et le premier était de 1 à 4,1. Quand le 20e du classement recevait 13 M€, le premier encaissait 53,3 M€. À partir de 2020, au vu des sommes qui vont tomber dans les caisses du football professionnel français, l’écart va très sensiblement se réduire. Il va être de 1 à 2,35 environ et permettre aux petits clubs d’être les principaux bénéficiaires de l’explosion des droits télé, puisque ceux qui touchent aujourd’hui autour de 15 M€ peuvent espérer récolter près du double dans deux ans. Et, à l’inverse, le champion de France devrait se contenter d’une modeste augmentation, jusqu’à environ 60 M€ annuels. » Et cet écart pourrait encore baisser si les droits TV vendu à l’étranger augmentent…
Mercato : Imbroglio autour de la signature de ce défenseur à Lyon, l’OM était sur le coup…
Ferland Mendy – Le Havre during the Ligue 2 match between Le Havre AC and Nimes Olympique on August 4, 2016 in Le Havre, France. (Photo by Anthony Dibon/Icon Sport)
Il y a un an, l’OM cherchait un latéral gauche. Avant de faire signer Jordan Amavi, le club phocéen avait tenté de refaire un coup du côté du HAC avec un autre Mendy. Ferland avait finalement signé avec Lyon, ce transfert est remis en question par l’ancien conseiller du joueur…
L’OM a bien discuté avec l’ancien représentant de Mendy
En effet, le journal l’Equipe affirme que « Mendy et l’OL sont sur le point d’être assignés devant le tribunal de grande instance de Lyon, une situation très rare dans le genre de litige dont il est question. » Son ancien représentant, Laurent Menestrier lui reproche d’avoir résilié son contrat quelques mois avant son transfert. Ce dernier explique : « J’ai échangé à plusieurs reprises avec M. Aulas ces derniers mois. Il est dans l’intérêt du football que les dirigeants, a fortiori les plus importants, respectent les possesseurs de mandats. En l’occurrence, ce ne fut pas le cas. Je constate en ayant échangé avec d’autres dirigeants à cette période pour le dossier de Ferland Mendy, que ce soit par exemple les dirigeants de l’OM, par l’intermédiaire d’Andoni Zubizarreta (directeur sportif), ou ceux de Bordeaux via Stéphane Martin (président), que eux l’ont respecté. »
j’ai dû me séparer de mon précédent conseil car j’étais sans nouvelle de lui depuis six mois
De son côté, le latéral de l’OL estime être dans son bon droit. « Je ne peux que confirmer ce que j’avais déclaré, il y a plus d’un an, à savoir que j’ai dû me séparer de mon précédent conseil car j’étais sans nouvelle de lui depuis six mois, que je n’ai jamais reçu en six mois ni mail, ni SMS, ni courrier de sa part, et que j’avais découvert qu’il travaillait avec des gens qui n’avaient pas le droit d’être agents sportifs en France. »
