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OM Info

Sarr et l’équipe de France, le calendrier de fou de l’OM et Fair-play Financier… Les trois infos OM qu’il ne fallait pas manquer aujourd’hui !

Par La Redaction FCM - Publié le - Mis à jour le
Bouna Sarr - 2018

 

 

 

L’une des grandes réussites cette saison de Rudi Garcia aura été de repositionner Bouna Sarr en latéral droit. Si l’idée avait quelque peu fait sourire au départ, l’ancien messin a, au fil de ses apparitions dans le couloir droit, rapidement donné raison au coach de l’OM. A tel point qu’il existe aujourd’hui une réelle concurrence avec Hiroki Sakai.

 

 

Bouna Sarr observé par Deschamps

 

 

A lire aussi : ASSE – OM : Le onze de départ probable olympien

 

Et le moins que l’on puisse dire c’est que la reconversion de Bouna Sarr n’est pas passée inaperçue. En effet, comme le révèle le quotidien sportif L’Équipe ce vendredi, les performances de l’Olympien au poste de latéral droit seraient observées avec attention par Didier Deschamps. Et qui sait, s’il parvient à s’imposer à l’OM, les portes des bleus pourraient bien s’ouvrir à lui à un poste où le sélectionneur de l’équipe de France n’a pas non plus pas énormément de possibilités qui s’imposent à lui.



Gros calendrier en février avec deux psg/om

Adil Rami – Neymar (OM-PSG)

 

 

Le tirage au sort des quarts de finale de la Coupe de France a eu lieu ce jeudi 8 février 2018 et l’Olympique de Marseille se déplacera donc à Paris pour affronter le PSG au Parc des Princes. Cette rencontre aura lieu le 28 février prochain soit seulement trois jours après un autre… PSG – OM, choc de la 27 journée de Ligue 1 le dimanche 25 février 2018.

 

Les hommes de Rudi Garcia auront également un déplacement à Braga en Ligue Europa trois jours avant la première confrontation avec le PSG, le jeudi 22 février février. 

 

 

Le Calendrier de l’OM en février :

 

 

Braga – OM : Jeudi 23 février

PSG – OM : Dimanche 25 février

PSG – OM : Mercredi 28 février

OM – Nantes : le Samedi 3 ou le dimanche 4 mars (non programmé par la LFP)

 

 

 

Le tirage au sort complet de La Coupe de France :

 

 

Grenoble (N1) ou Strasbourg (L1) – Chambly (N1)
PSG (L1) – Marseille (L1)
Les Herbiers (N1) – Lens (L2)
Caen (L1) – Lyon (L1)



OM : Tout comprendre sur le Fair-play Financier avec un spécialiste

Jacques Henri Eyraud president – Marseille – Andoni Zubizarreta

 

 

Si vous êtes anglophone et que vous voulez comprendre le fair-play financier en détails, nous ne pouvons que vous conseiller cette série d’articles rédigés par Christopher A Flanagan, avocat privé mais également chercheur spécialisé dans la juridiction du sport. C’est compliqué mais moins que l’énoncé formelle des règles par l’UEFA.

 

A lire aussi : The evolution of uefa’s financial fair-play rules – part-1 : background and eu law by Christopher FlanaganA lire aussi : The evolution of uefa’s financial fair-play rules – part-2 : the legal challenges by Christopher Flanagan

a lire aussi : The evolution of uefa’s financial fair-play rules-part-3 : past reforms and uncertain future by Christopher Flanagan

 

En attendant, nous sommes allés lui poser plusieurs questions sur la règle en « anglant » forcément plus particulièrement sur le cas de l’OM. Interview.

 

 

 

Les règles de bases du FPF expliquées par un spécialiste

 

 

 

 

Tu peux clarifier un peu les règles pour nous ? Notamment tout ce qui concerne les dettes, les déficits par an, par période de trois ans ? 

 

 

 

Christopher A Flanagan : « Commençons par les bases. Pour jouer dans une compétition interclubs organisée par l’UEFA, il faut obtenir une licence UEFA. Il y a des règles, notamment financières, que les clubs doivent respecter pour obtenir cette licence. Elles sont contenues dans l’ensemble « UEFA’s Club Licensing and Financial Fair Play Regulations » (ou de manière abrégée « CLFFPR »).

 

 

 

À l’intérieur de ce CLFFPR, il y a la surveillance d’un certain nombre d’obligations financières dont celui d’arriver à un « seuil de rentabilité » (break even en VO). Cela doit empêcher les clubs de réaliser d’énormes et dangereuses pertes. Les pertes, ici, sont bien plus importantes que les dettes. Aussi longtemps qu’un club est bénéficiaire d’année en année, il n’aura pas de problèmes avec les exigences du Fair-play Financier (même si les dettes sont parfois prises en considération), les dettes peuvent être considérées comme fructueuses (sustainable en VO), les pertes, non.

 

 

L’UEFA surveille les comptes des clubs participants à l’une de ses compétitions. La demande d’arriver à un « seuil de rentabilité » est prise en compte sur une durée de trois ans. Par exemple pour évaluer la conformité au FPF sur la saison 2017/18, l’UEFA va regarder la somme des pertes pour 2018, 2017 et 2016. Par exemple :

 

Saison T : – 25M€ (pertes)

Saison T-1 : + 10M€ (profit)

Saison T – 2 : + 20M€ (profit)

 

Seuil de rentabilité net = 5M€ (profit).

 

 

Cela signifie que les clubs peuvent accuser de grosses pertes sur une saison sans enfreindre les règles, aussi longtemps qu’ils sont bénéficiaires sur les saisons précédentes ou suivantes.  »

 

 

Pour lire la suite des explications, c’est ici !

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