Hier, l’ex-entraineur de l’OM a refait irruption dans l’actualité du club tel une vieille rage de dent qui se réveille sans crier gare. Dios, qu’il ne nous manque pas, lui et ses excuses en bois…
« Quelqu’un m’a fait du mal… » « Labrune est la pire chose qui me soit arrivé à l’OM », l’art du storytelling du communiquant de pacotille
L’entraineur ibère avait des choses à dire et est repassé par une radio pour pleurnicher un coup. Puisque forcément quand on lui tend un micro, il ne sait faire que deux choses : se vendre ou pleurnicher. Les supporters marseillais ont appris à bien le connaitre l’an dernier.
Cette fois, c’était sur Onda Cero et les thèmes abordés étaient son échec à récupérer le poste de sélectionneur espagnol (ouin-ouin), son échec tout court à Marseille (ouin-ouin bis) et son futur (il veut entrainer des équipes avec lesquelles il peut obtenir quelque chose, lol).
Pour justifier son pitoyable bilan dans la cité phocéenne, Michou nous explique que c’est de la faute à Labrune. Le mec qui l’a sorti du chômage et avait fait de son sourire Colgate, une fierté. Il avait préparé le terrain il y a deux mois dans une interview pour une autre radio (Esradio) en déclarant : « J’ai malheureusement rencontré dans ce club une personne qui m’a fait beaucoup de mal« . Quien es, quien es, michelito ??? Il nous donne aujourd’hui la réponse : « Labrune est la pire chose qui me soit arrivé à l’OM« . Génial.
LeBrun avait un pouvoir de nuisance certain sur toutes les strates du club mais que ce (tout petit) coach se répande encore en excuses sans jamais chercher à faire son auto-critique nous rappelle à quel point, il fut une sale irritation complémentaire à la maladie profonde dont souffrait l’OM sous la précédente présidence.
Michel, tu n’es pas loin d’être la pire chose qu’il soit arrivé à notre OM sous Labrune
La pire, la pire… On abuse un peu dans notre formulation mais tu nous le pardonneras bien, toi, l’expert du chouinement. C’est vrai que Vince a fait tellement de dégâts structurels que tu passes finalement au second plan.
Avec toi, on en est presque venu à regretter Élie Baup…
Tout de même, à cause de toi, on en est presque venu à regretter Élie Baup et à se dire que Franck Passi, c’était pas si mal. Par ton refus à t’asseoir sur tes indemnités (vous avez travaillé en binôme sur ce coup là avec VL), tu as enlisé dans les profondeurs du classement de la Ligue 1 une équipe avec une colonne vertébrale de niveau international (Mandanda, Nkoulou, Diarra, Michy).
Le brushing t’a licencié n’importe comment et on a malheureusement pas fini d’entendre parler de toi avec ce procès que tu nous a collé au cul. Parce que non, on en a pas encore fini avec ce triste personnage…