Le grand déballage continue, l’affaire des « Panama Papers » n’en fini pas, après Platini, Messi ou encore Heinze, c’est le nom de Robert Louis-Dreyfus qui est cité dans un des articles du journal le monde.
Le journal explique que « l’ancien patron de l’Olympique de Marseille, Robert Louis-Dreyfus, ne s’est pas privé de créer une société offshore. L’homme d’affaires français naturalisé suisse, mort le 4 juillet 2009, apparaît ainsi avec des proches comme coactionnaire d’United in Sports Parallel I GP Limited, créée le 6 novembre 2007, ainsi que de UIS RLD 2 Limited. La date de naissance de cette seconde entité, domiciliée aux îles Vierges britanniques, est intéressante. Elle a été créée le 12 juin 2009, soit moins d’un mois avant le décès de l’ancien patron d’Adidas.
S’agissait-il de soustraire une partie de l’héritage familial au fisc ? Impossible de l’affirmer. Mais c’est un certain Martin Foster, exécuteur testamentaire de « RLD » qui en est devenu l’actionnaire, tandis qu’Ivo Hungerbühler, l’avocat de Margarita Louis-Dreyfus – veuve de RLD et désormais propriétaire de l’OM –, chargé de gérer la question de l’héritage familial, a été désigné directeur de cette société en septembre 2009. Elle a finalement été dissoute en 2013, comme United in Sports Parallel I »
Les noms des président du FC Nantes et de l’AS Monaco sont aussi cités dans cet article (Lire ici…)