« Ce n’est même pas le prix d’une des deux jambes de mon n°9 ! »

Dans un dossier consacré à la gestion des abonnements en virage publié sur le site de So Foot, Ludovic Lestrelin, maître de conférence à l’université de Caen et spécialiste de la question du supportérisme en France, évoque le peu d’intérêt que portait Robert Louis-Dreyfus à ce dossier, sachant que les pertes financières liées à cette gestion (environ 3 millions d’euros par saison) semblaient dérisoires. « Robert Louis-Dreyfus avait l’habitude de dire à ce propos : « J’en n’ai rien à foutre de ça. Ce n’est même pas le prix d’une des deux jambes de mon n°9 ! » Le club avait conscience de perdre un peu d’argent, mais ce n’était qu’une goutte d’eau », raconte ainsi Lestrelin.